/
La Savoie dans la guerre de 1870- 1871 – J.N. Parpillon dit Fiollet

En 1860, la Savoie est rattachée à la France. Dix plus tard, les Savoyards des deux départements sont mobilisés et une garde mobile est créée dans chacun des départements.
2 pages et 7 photos – résumé : Michel Henry
Mobiles de Savoie
Généalogie de la famille des cimentiers VICAT – Yves Arrigoni

Au cours de recherches généalogiques dans la région de Saint-Marcellin (38), l’auteur de l’article, Yves Arrigoni, a souvent rencontré des VICAT dans les actes d’état civil. Ont-ils un lien de parenté avec le célèbre ingénieur Louis Joseph Vicat (1786-1861) qui inventa le ciment artificiel et son fils Bertrand Joseph (1821-1900) qui industrialisa sa fabrication ?
Une étude détaillée montre que la famille des cimentiers est effectivement originaire du Dauphiné, plus exactement de la région de Roybon. De très nombreux actes notariés sont analysés dans les notes et enrichissent cette généalogie descendante établie entre le XVIeet le XXesiècle.
9 pages et 13 illustrations – résumé : Patrick Martin
illustration : Plaque en ciment moulé – © A.M.
Plaque en ciment moulé – © A.M.
La chanson lyonnaise à la Renaissance (II) – Guy Milou

Dans cette seconde et dernière partie d’un article consacré à la chanson lyonnaise à la Renaissance, l’auteur aborde de nouveaux thèmes inspirateurs de chansons, tels que les guerres, le folklore, les fêtes saisonnières (le joli mois de mai, les rogations, la Saint-Jean, Noël) et les chansons composées à l’occasion des entrées du roi à Lyon.
6 pages et 11 illustrations – résumé : Patrick Martin
Illustration du Roman de Fauvel – XIVe siècle – Détail
Feux d’artifices meurtriers – Raymond Bargillat

Une brève note relevée dans le registre paroissial de La Balme-les-Grottes (38) rapporte un nombre supérieur à 600 pour les morts et blessés victimes de feux d’artifice tirés à Paris pour célébrer un mariage royal. La relation de cet événement dans la Gazette de France montre que ce nombre de 600 est exagéré pour les victimes étouffées lors d’un mouvement de foule postérieur aux tirs des artificiers.
Une page et une illustration – résumé : Denis Serve
Feu d’artifice tiré à la place de Louis XV le 30 mai 1770
Isérois mariés à Toulouse (I) – Claudie Dussert
Claudie Dussert (EGMT) a transmis une liste de 80 personnes originaires de l’Isère et mariés à Toulouse entre 1928 et 1942. Cette première partie concerne les hommes dont le patronyme débute par les lettres A à C.
3 pages – résumé : Michel Henry
Paléographie – Donation et médecine parallèle – Jean-Paul Métailler

Donation de Juran Chalvet du 19.09.1626 pardevant Me Abraham Armand, notaire à Orpierre (05), en faveur de Pierre Chalvet, Sieur de Chamozel.
Tous les généalogistes savent que les actes notariés recèlent des trésors pour compléter leurs arbres généalogiques. Les contrats de mariages, bien sûr, et aussi les testaments fournissent de précieuses informations. Les autres actes notariés sont parfois négligés.
2 pages et photo de l’acte
Donation et médecine parallèle
La seigneurie de Saint-André-en-Royans – François Capéran

L’auteur propose un récit de l’histoire de la seigneurie de Saint-André en Royans en commentant un plan figuré et détaillé de ce village réalisé artistiquement en 1736 par Antoine Bleton, châtelain, notaire de ce bourg. Les maisons sont dessinées à plat avec leur environnement particulier. Le plan précise les chemins, les biens fonciers, les droits d’eau et de chasse du seigneur. C’est l’image d’un cadastre particulier indiquant pour chaque maison le nom de l’occupant, ses fonctions, les droits de passage, les confins et pour chaque parcelle la culture (vignes, noyers, prés, …) la surface et l’imposition. Au pied du château vit une société de classe moyenne : procureur, notaire, marchands et artisans. En plus de l’esquisse imaginée de l’enceinte du château avant 1573, nous découvrons l’organisation du château du comte de Saint-André en 1736 avec son donjon, ses cours basse et haute, la passerelle d’accès, la chapelle, le pigeonnier, le réservoir d’eau alimenté par la fontaine. Une source est captée dans la partie haute du village dans la réserve de chasse du seigneur établie à l’emplacement de l’ancien village, brûlé en 1573 lors des guerres de Religion. L’église paroissiale construite en 1680 est inscrite à l’inventaire des monuments historiques pour son plafond en caissons en bois décoré en trompe-l’œil.
8 pages, 14 illustrations – résumé : Denis Serve
Le plafond à caissons de l’église
Les seigneurs de Saint-André-en-Royans – François Capéran

Cet article offre une synthèse illustrée du riche passé historique d’un village de la partie iséroise du Royans, en énumérant les seigneurs successifs de 1100 à 1800, propriétaires de ce terroir dont nous découvrons les blasons. Aux Dauphins, présents jusqu’en 1250, succèdent les Bérenger, les Sassenage puis les Clermont et François Agoult, qui en 1561, vend Saint-André à la famille Prunier dont plusieurs membres furent premier président du Parlement à Grenoble. La branche Prunier de Saint-André s’allie à Émé de Marcieu à la fin du XVIIIesiècle.
Un encadré présente les litres funéraires du seigneur René Nicolas Ismidon de Prunier, décédé en 1765 mettant en exergue le remarquable blason familial formé par l’assemblage des 10 blasons des familles alliées.
2 pages, 10 illustrations et un encadré – résumé : Denis Serve
Dieu est ma forteresse
Les châtaignes de Faramans – Madeleine Robin

Le père Touquet eut son heure de célébrité dans la région de Faramans (38). Né à Châtonnay en 1882 et décédé au Grand-Lemps en 1968, il a été très longtemps prêtre à Faramans. En 1953, il composa les Poèmes de la Bièvre, dont Les châtaignes de Faramans. Ce poème se chante traditionnellement au cours du repas annuel du groupe local de généalogie du CGD. Faramans accueille en octobre et depuis une trentaine d’année, sa foire aux châtaignes. La généalogie ascendante sur sept générations de Joseph Lucien Antoine TOUQUET est présentée en fin d’article.
2 pages, 2 illustrations et une généalogie – résumé Patrick Martin
Foire aux châtaignes de Faramans
Les mobiles de Savoie dans la guerre – J.N. Parpillon dit Fiollet

Placé sous les ordres du général Bourbaki, le 1er bataillon de Chambéry participe aux combats sanglants d’Héricourt, sur la Lizaine. Un monument aux Savoyards est érigé à Béthoncourt en 1872. Le monument érigé en 1912 sur la place Monge de Chambéry rappelle l’engagement des Savoyards dans leur premier conflit aux côtés de la France.
2 pages et 7 illustrations – Résumé : Michel Henry
Bataille de la Lizaine
Et nos rubriques habituelles
/ Questions
Réponses
Vu sur le Net
Vie des associations
Bibliographie et revue de Presse
Courrier des Lecteurs
Feuilletez la revue complète en format PDF. Cette opération est réservée aux abonnés a la revue Généalogie et Histoire du CEGRA connectés dans leur compte.
Pour les adhérents d’une association membre du CEGRA abonnez vous par le biais de celle-ci, sinon utilisez le formulaire correspondant
Pour disposer de la Revue en format papier haute qualité, utilisez le bon de commande