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Résumé GH203

Louis Hector de Villars descend de la branche de Villars de Condrieu ; Pierre de Villars, son père était né à la Chapelle au pays de Condrieu. Vainqueur de la bataille de Denain, grand officier du Roi-Soleil et l’un des plus grands capitaines de la France, Louis Hector est resté le personnage le plus illustre de la famille de Villars.

À 19 ans en 1672, il fait la campagne de Flandres, puis la guerre de Hollande terminée, Louis XIV lui confie des missions diplomatiques. Il se révèle être un génie fait pour la guerre ; entre 1702 et 1714, il alterne victoires et défaites et il sauvera la France en 1712 par la victoire de Denain. À la tête de ses troupes, Il a toujours manifesté une philosophie de la bravoure et du respect de ses soldats. Fort occupé à guerroyer, il se maria tardivement en 1702, la même année que sa nomination de maréchal de France. Ensuite il cumule d’autres distinctions : duc, chevalier de l’ordre du Saint-Esprit, pair de France et dignité de maréchal général des camps et des armées du roi.

Nanti de biens considérables, il a acquis de nombreux châteaux, hôtels et domaines dont Vaux-le-Vicomte. En 1934, âgé il part pour une dernière campagne dans le Milanais, mais malade, il décède à Turin en juin 1734. Son fils Armand-Honoré de Villars, gouverneur de Provence, fut une courte descendance.

D’une famille modeste, Pierre Montet trouve sa voie lorsqu’en 2e année de licence à la faculté de lettres son professeur d’égyptologie lui conseille d’étudier les hiéroglyphes.
Nommé en 1909 à l’Institut Français du Caire il mène des recherches sur place pendant 5 années avant d’être rattrapé par la Grande Guerre. Démobilisé en 1919, il passe sa thèse en 1925. Nommé à l’Université de Stasbourg puis au Collège de France, Pierre Montet assure son enseignement et poursuit ses fouilles et ses découvertes pendant 40 ans.
Il a publié environ 180 articles et une vingtaine de livres sur l’Egypte ancienne.
L’article est complété par la généalogie ascendante de Pierre Montet sur 4 générations.


L’histoire du Diable en Maurienne, et particulièrement à Bessans, prend une tournure particulière au XIXe siècle au cours d’une dispute entre la paroisse et la municipalité quand un chantre mécontent sculpte une statue du Diable avec un curé sous le bras. La statue est déposée devant le presbytère en guise de protestation…


Difficile d’imaginer qu’un rocher, aujourd’hui encastré dans le mur d’une maison, se dressait autrefois dans le lit du fleuve.

En juin 1731, un riche propriétaire, Benoît Jacquet, avocat en parlement, tente d’empêcher que s’exerce sur son domaine le droit coutumier de charpille. Il fait envoyer la troupe à cheval contre les moissonneurs.
Après plusieurs journées d’émeutes, 9 personnes sont envoyées en prison et jugés pour sédition, tandis que le sieur Jacquet est poursuivi pour l’assassinat de deux moissonneurs, les frères Alix.
Les habitants de Villefranche auront finalement perdu : le droit coutumier de charpille est aboli et Benoit Jacquet qui a plaidé la légitime défense obtient des lettres de grâce.

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