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Résumé GH196

Quand Bach chantait La Madelon. Histoire de La Madelon paroles de Charles Bousquet et musique de Camille Robert, 5 illustrations

Sous l’Ancien Régime, la communauté des Avenières comprend trois paroisses le long du Rhône en frontière avec la Savoie. Les parcellaires ou registres de péréquation permettent la répartition de la charge de la taille en fonction des possessions (terres et bâtiments) de chaque foyer des propriétaires. En comparant les parcellaires de 1646 et 1777, on relève les changements intervenus pour les familles les plus aisées. Dans la paroisse de St Didier, la localisation des maisons est donnée avec les noms des propriétaires. Ces familles représentent à peine un tiers de la population
Une connaissance plus précise des habitants des Avenières est atteinte par l’analyse des listes de capitation , impôt fondé sur les revenus approximatifs de toute la population active , hommes adultes et femmes travaillant indépendamment. Cet impôt par tête permet de reconstituer l’ensemble de la communauté par situation professionnelle ou statut social en 1750. Parmi les catégories les plus nombreuses , on relève une trentaine de foyers bourgeois , une cinquantaine d’artisans, 70 ouvriers, une centaine de laboureurs et une centaine de journaliers (monde agricole).
La matrice du cadastre napoléonien de 1826 révèle l’apparition d’un nombre important de nouveaux noms de famille par comparaison avec la liste de capitation de 1750.. Des annexes sont dédiées à la réalisation du parcellaire de 1646 et aux familles seigneuriales implantées aux Avenières.
10 pages, 1 encadré, 11 illustrations DS

La peste en 1720 à Marseille – Michel Serres (1658-1733) – Détail
Atteint par la grande peste de Lyon, Pierre Reydellet teste en octobre 1628, il dicte son testament devant une fenêtre du premier étage de sa maison. Il décède dans les jours qui suivent. De ses 7 enfants, 2 survivront.
Malgré des mesures exceptionnelles l’épidémie croit inexorablement, isolant Lyon dans la famine et la pauvreté. En novembre la maladie perd de sa virulence , puis repart après les fêtes, persuadant les médecins que le contact est aggravant. Chassée de la ville, la maladie ravage encore des provinces proches.
Certains s’en remettent à Dieu et Lyon échappe aux épidémies suivantes.
2 pages, 2 illustrations. Cl. Girard

La chapelle de la commanderie Verrières
Nous sommes au XVIIe siècle. Avec l’exemple d’une famille forézienne de la paroisse de Verrières-en-bussy, descendants d’un grand-père Maître de poste, l’auteur narre comment obtenir de l’élévation sociale autre que celle acquise par les emplois juridiques. Il s’agit de la voix cléricale et en particulier l’admission dans l’ordre des hospitaliers.
Pour être admis dans l’un des 3 états de l’ordre de Malte : chevaliers, chapelains, ou servants d’armes, il faut apporter la preuve de sa noblesse ou de son honorabilité. La procédure est pointilleuse, des chevaliers sont missionnés pour vérifier auprès de 4 témoins choisis par le père du prétendant, que celui-ci répond à tous les critères requis, pièces justificatives à l’appui, dont les lettres de provision de l’ascendance du demandeur… Enfin, une dernière étape : la preuve secrète, une enquête à l’insu de la famille.
Ainsi le très jeune Pierre Parlet va être reçu frère chapelain, s’il poursuit ses études afin d’être ordonné prêtre. Hélas il décède à 14 ans et encore étudiant au collège des Révérends Pères de Montbrison.
L’ordre des templiers a été supprimée suite aux dérives inacceptables des guerriers… Mais les « preuves » de Malte archivées, puis numérisées notamment aux AD 69, sont devenues une mine d’or pour les généalogistes. L’auteur indique 3 liens, permettant de consulter en ligne ce remarquable travail .
6 pages, 7 illustrations. Cl. Girard

Cette généalogie est présentée en hommage à Émile Romanet à l’occasion du 150e anniversaire de sa naissance dans une modeste famille d’agriculteurs isérois à
Ville-sous-Anjou. Directeur associé des Ets Joya de 1897 à 1925, É. Romanet s’est préoccupé d’améliorer la condition ouvrière en initiant à Grenoble, dès 1918, une caisse de compensation d’allocations familiales. Ses très forts engagements au sein de son entreprise, de diverses instances professionnelles et également d’œuvres catholiques, ont été reconnus en lui décernant neuf distinctions honorifiques.
Ses ancêtres sont à 95 % d’origine iséroise, on n’y relève que deux rameaux issus de la Drôme et du Rhône. Une généalogie plus complète est disponible sur sa fiche Geneastar sur le site Geneanet .
4 pages, 8 illustrations

texte de l’article.

Claude empereur romain né à Lyon le 1er août an 10 avant J.-C. …
Les cinq pages Onomastique et Vocabulaire de ce numéro déclinent l’histoire des Claude et Claudius, Claudia, Claudine et Claudette sous différentes formes : étymologie, hagiographie, iconographie, formes linguistiques, formes féminines, formes masculines, popularité, vocable paroissial, prénoms, patronymes, dictons, usages.
Et vous en saurez plus sur Claudius Servettaz un haut-savoyard auteur de deux recueils de chansons, sur l’origine de la prune appelée reine-claude, et une généalogie, l’ascendance de Camille Doncieux, première femme de Claude Monnet, née à Lyon et dont les ascendants sont isérois, de Chanas et environs.
Tout, tout, vous saurez tout sur Nicolas et ses dérivés !
5 pages et 16 illustrations

texte de l’article.

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