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Résumé GH179

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Les auteurs rappellent ce que fut cette commanderie qui abrita des chevaliers de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem depuis 1492 jusqu’à la Révolution ; et ce qu’il en reste maintenant.

1 page et 4 illustrations – résumé : Michel Henry

Détail du plan de Simon Maupin 1625 – Musée Gadagne d’histoire de Lyon – Wikipedia

Depuis quelques années on assiste à une recrudescence des punaises de lit dans toutes les villes des pays développés, peut-être due à la multiplication des échanges internationaux. Des logements privés ou publics, tels qu’hôtels, en sont infestés. Tels les vampires ou les chauves-souris, ces minuscules insectes se nourrissent de sang. Au XIXe siècle, un industriel natif du Dauphiné, Joseph Henri Vicat (1821-1901), va mettre au point à Lyon puis à Paris un produit révolutionnaire qui promet la mort aux punaises. C’est le premier insecticide de l’histoire, un produit 100 % naturel à base de plantes telles que pyrèthre et chrysanthème. Son étonnant parcours est décrit et sa généalogie ascendante donnée à la fin de l’article. Son lien de parenté avec un autre célèbre inventeur, Louis Joseph Vicat, est établi grâce aux recherches détaillées d’Yves Arrigoni (G&H 179 et 180).

5 pages, 12 illustrations et une généalogie – résumé : Patrick Martin

Images d’Épinal : l’insecticide Vicat (1882)

À la suite de l’article pages 2 à 7 de ce numéro consacré à la vie de l’inventeur de l’insecticide, Joseph Henri Vicat, cet article présente sa généalogie dauphinoise étayée par de très nombreux contrats de mariage et actes notariés. Afin d’établir son lien de parenté avec Louis Joseph Vicat, le célèbre inventeur du ciment artificiel, un autre article de l’auteur sera présenté dans le n° 180 de la revue Généalogie & Histoire.

5 pages et 3 illustrations – résumé : Patrick Martin

Chapelle Saint-Jean le Fromental à Dionay (38)

Dans la première moitié du XVesiècle, le centre de la création au niveau des chansons se situe à Dijon, à la cour de Philippe le Bon. Puis dans la deuxième moitié du XVesiècle Lyon devient un centre de rayonnement de la chanson. La prospérité de la ville et ses multiples contacts avec le reste du monde dans le cadre du commerce, de l’activité des banques et de ses foires, favorisent le foisonnement culturel. L’auteur présente dans cet article les caractéristiques de la chanson lyonnaise aux XVeet XVIesiècles. Une occasion de redécouvrir d’anciens instruments (claquebois, luth, vielle, chalumeau, tournebout, cornemuse, etc.) ainsi que les genres de musique (vaudeville, chansonnette, goguette, etc.). L’auteur aborde trois thèmes : le thème de l’amour, le thème bacchique et le thème satirique. D’autres thèmes seront décrits dans le prochain numéro de Généalogie & Histoire.

5 pages et 14 illustrations – résumé : Patrick Martin

Danse paysanne – Missel de l’abbaye Montierneuf de Poitiers – XVe siècle

Claudie Dussert (EGMT) a transmis une liste de 61 personnes originaires de l’Isère et décédées à Toulouse entre 1905 et 1920.

3 pages – résumé : Michel Henry

La ville de Grenoble était principalement dirigée par quatre consuls élus, issus de quatre catégories sociales de la population, et huit conseillers, deux dans chacune de ces catégories.

Lors des réunions entre les consuls et les conseillers, la communication verbale se révélait complexe car certains ne comprenaient que très peu le latin, ou ne l’avaient jamais appris.

C’est ainsi qu’un an avant l’ordonnance de Villers-Cotterêts, une décision consulaire imposa la pratique orale et écrite du français – la langue vulgaire – lors de leurs délibérations pour qu’une meilleure compréhension puisse s’établir entre les édiles de la ville.

2 pages et photo de l’acte

Du latin au français, Grenoble 1538

La recherche de l’ascendance de François Bigot (1696-1749), huissier dans le nord de l’Isère, nous entraîne dans un voyage en Touraine avec une immersion parmi plusieurs familles d’artistes de grande renommée dès 1450. Ce dauphinois d’adoption est le fils de François Bigot (1665-1748), ouvrier en soie puis maître d’école, originaire de Beaulieu-lès-Loches, et de Renée Lamaye, native de Tours.

L’auteur s’attache d’abord aux multiples mariages de ces deux personnages avant de détailler l’histoire de cette famille Bigot, d’abord présente à Château-Renault vers 1550, puis à Beaulieu-lès-Loches vers 1675 avec deux générations de bourgeois marchands tanneurs, et enfin à Tours. Les alliances matrimoniales des Bigot avec les familles bourgeoises Lamaye et François sont largement commentées.

Artisans passementiers, les Lamaye sont des protestants dont une partie se convertit à la religion catholique, le restant émigre en Angleterre. La famille François, présente à Tours dès 1400, compte plusieurs artistes de la Renaissance avec cinq générations d’architectes, maçons, sculpteurs et marchands graveurs. Les diverses réalisations de ces François à Tours et à Amboise (églises, tombeaux, ponts, etc.) sont largement commentées. l’auteur détaille également les alliances matrimoniales des François avec les familles d’artistes Regnault (sculpteurs) et Colombe (enlumineur et peintre) de grande notoriété.

Cet article s’achève avec la généalogie ascendante de François Bigot, fils.

9 pages, 11 illustrations et 1 encadré – résumé : Denis Serve

Façade de la cathédrale Saint-Gatien à Tours

Jean-François Therme (1791-1847)
Les auteurs retracent la vie de cet édile lyonnais qui vécut pendant la première moitié du XIXesiècle et s’occupa particulièrement d’hygiène publique pendant ses sept années de mandat à la tête de la ville de Lyon.

1 page et 5 illustrations – résumé : Michel Henry

Jean-François Therme (1791-1847)

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