Résumé GH205

Au début du XVIe siècle, une maison du Teil était établie dans la noblesse provençale et dans le pays de Manosque (Alpes-de-Haute-Provence). Anoblie consulaire, la famille se conforte dans la judicature à Forcalquier puis devient une famille militaire et une branche s’installe en Dauphiné, au château de Pommier près la Côte-Saint-André … Il s’agit de la lignée dont descend le baron Jean Pierre du Teil (1722-1794).
L’étude généalogique de cette famille peut se scinder en 6 branches :

La dauphinoise (de Beaumont) – 5. Celle du Guatemala – 6. La parisienne.
Toutefois nous vous présentons une généalogie du baron Jean-Pierre du Teil en deux parties :
son ascendance et sa descendance, recouvrant les branches essentielles citées ci-dessus.
Ce texte détaille l’ascendance du baron et présente brièvement sa fratrie, dont son frère Jean.
La descendance du baron sera l’objet d’un prochain texte.

L’aînée de Manosque – 2. La 2e Manosque et Forcalquier – 3. La 3e de Forcalquier –

Paul Claudel, écrivain et diplomate décédé à Paris le 23 février 1955 à 87 ans, a été inhumé selon ses vœux à Brangues (Isère), où il possédait un château.
Les funérailles grandioses ont eu lieu le 3 septembre 1955. La veillée a précédé la messe, célébrée par l’archiprêtre de Morestel, en présence d’une foule nombreuse (environ 3000 personnes) et de personnalités comme le Cardinal Gerlier et le Président Édouard Herriot.
Après l’éloge funèbre et l’absolution, des discours ont été prononcés par le maire de Brangues et Édouard Herriot. Le cortège a ensuite rejoint le parc du château, où le comédien Jean-Louis Barrault a clôturé la cérémonie par un dernier adieu émouvant.

Une recherche généalogique sur les familles Chastellaing (devenus Chatelain) et Charansonay (devenus Chalansonnet) dans le massif des Bauges permet d’éclairer la vie quotidienne et les mœurs savoyardes, particulièrement au XVIIIe siècle.
L’occupation française de la Savoie (1536-1559) a indirectement enrichi les archives historiques grâce à l’Édit de Villers-Cotterêts (état civil) et au recensement de 1561 ordonné par Emmanuel-Philibert pour l’impôt, documentant la population et sa condition sociale.
Le recensement montre les Chastellaing (à Saint-Jean-d’Arvey et Thoiry) comme des pauvres et misérables. L’auteur réfute l’étymologie les reliant à la fonction de châtelain, suggérant plutôt qu’ils étaient les habitants d’un hameau de montagne (castellanus).
Les Charansonay, eux, sont nobles, mais le recensement de 1561 ne trouve qu’un seul noble, François, seigneur de Puigros, avec un patrimoine modeste. La lignée légitime semble s’être éteinte, laissant la place à des descendants « naturels » (bâtards), qui perdirent leur noblesse mais conservèrent leurs terres.
Jusqu’au XIXe siècle, la population des Bauges, massivement analphabète, a été affectée par les guerres, les crises climatiques et l’annexion de 1860, menant à une forte émigration.

Boisy, simple grange en 1346, devient une forteresse en 1397 grâce aux frères Jean et Humbert de Simon, anoblis. Après l’extinction de leur lignée, la terre passe aux Damas-Couzan, puis aux Lévis par mariage.
En difficulté financière, Eustache de Lévis vend Boisy en 1447 à Jacques Cœur. Confisquée lors de la disgrâce de l’argentier, elle est acquise en 1455 par Guillaume Gouffier, puis passe aux Aubusson de la Feuillade et enfin aux Harcourt jusqu’à la Révolution, où elle est confisquée comme bien national.

L’auteur nous fait découvrir l’histoire des poissons et leur rôle dans l’évolution humaine, des premières pêches rudimentaires aux techniques modernes. L’article explore les pratiques de pêche à travers les siècles, les découvertes scientifiques comme celle du cœlacanthe, et les enjeux liés à la préservation des milieux aquatiques. Entre anecdotes historiques, traditions et évolutions, le récit met en lumière l’importance des poissons dans notre quotidien et notre patrimoine. Une lecture enrichissante et pleine de surprises qui nous fait découvrir par exemple le rôle joué par la bicyclette dans la pêche, ou l’évolution de la pêche à la ligne et de sa règlementation au cours de l’histoire, ou encore les différences entre pêche sportive et populaire.